Voilà déjà quelques jours que je travaille sur cette nouvelle pièce mais elle est encore loin d'être terminée. Il faut prendre son temps avec le papier.

Alors, en attendant le résultat final je viens partager avec vous quelques étapes de la réalisation (oui, c'est vrai, j'ai passé l'étape 1 et 2).

"Work in progress" donc!

A bientôt!

  Derrière l'innocence d'un petit cheval de bois peut toujours se cacher le méchant loup dévoreur de grand-mère....

Quand j'étais petite fille, j'entendais souvent mon père parler de ses rencontres avec les dockers du port de Lorient...

L'inspiration ne vient pas de nulle part, tout comme on n'oublie pas d'où l'on vient...

C'est un ancien coffin de faucheur en bois offert par un ami, qui m'a servi de point de départ.Le coffin ou couvier servait d'étui pour la pierre à aiguiser la faux.

Ou... quand l'agriculture rencontre le monde de la mer!

J'ai sculpté la tête et recouvert le corps de nombreuses couches de papier maché. Le béret est un couvercle de théière recouvert également de papier.

Une sculpture qui sent bon le port de pêche et les souvenirs d'enfance.

Ça vient comme ça...

Des formes, des couleurs, la matière...

un personnage prend vie...

C'était lui et pas un autre et tant pis s'il n'existe que dans mon monde... 

Bonne semaine à vous!

Merci pour vos visites et vos commentaires.

Le titre n'est pas de moi, il m'a été soufflé par un copain de la blogospshère, amateur lui aussi d'assemblages récup' et ... de bons jeux de mots! J'ai trouvé celui-ci s'adaptant parfaitement à cette nouvelle sculpture. Allez découvrir son blog (gille-monte-ruici) pour découvrir ses créations et vous régaler des histoires incroyables qui les accompagnent mais, attention, il vous prévient d'emblée "abus de vis entraîne mise sous écrou"!

Merci Éric! ;-)

Quelques petites retouches encore mais on peut dire que cette fois l'idée est bien là...

Voici donc "Polichinelles dans le tiroir".